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Vous êtes scénographe, éclairagiste, créateur/trice vidéo, costumier(e), maquilleur/euse , vous travaillez en Belgique, et vous souhaitez avoir votre portrait dans la galerie, faites nous parvenir un texte concernant votre travail ainsi qu'une photo, nous les publierons.

Après une licence en scénographie à l'académie des Beaux-Arts de Liège, c'est avec Maggy Jacot, au sein de la Compagnie Arsenic, qu'elle fait ses premiers pas dans le monde professionnel du spectacle. Avec elle, elle explore le théâtre burlesque, la réalité du spectacle nomade, de la création sous chapiteau ; cette collaboration lui permet d'expérimenter diverses techniques de création pour la réalisation d'accessoires, de masques, costumes...

Passionnée par le spectacle visuel, la dynamique du corps, Valérie développe un univers poétique, plutôt mélancolique voire cruel, mais ne se limite pas dans ses approches et explore les diverses facettes du plateau en voguant du côté du spectacle jeune public pour la Cie des Mutants ou le Zététique théâtre , du spectacle musical pour Fabian Beguin ou les Choolers ou encore  en tout public pour le Théâtre des Chardons, Vivarium Tremens, Dominique Roodhooft, Anne-Cécile Vandalem...

En 2013, elle a un coup de cœur en suivant la formation de marionnettes portées dirigée par Natacha Belova au sein de l'Institut international de la Marionnette de Charleville-Mézières.  Cette aventure marionnettique commence avec des créations pour Borgia de la Cie Point Zéro puis en République tchèque pour Ubus, Cie Pop-up (en collaboration avec P. Forman).

En 2015, elle ouvre une nouvelle porte en créant un atelier de réalisation (Le Scénotaf) avec son compagnon, constructeur, et entreprend parallèlement une création propre qui verra le jour du côté des arts de la rue.
 
Avec toute l'envie que demain amènent de nouvelles rencontres et de nouveaux univers à développer !

http://www.valerieperin.be
http://cargocollective.com/scenotaf

 

Estelle Rullier a travaillé en France comme comédienne et plasticienne de 1989 à 1993.

Rapidement, elle s’intéresse à la relation entre corps, espace et lumière. Ce qui la conduit à suivre une formation aux Beaux-Arts de Grenoble où elle pratique la peinture et la gravure. Parallèlement, elle s’initie à la photographie.

A cette époque, l’Art Baroque et celui de la Renaissance marquent son esprit, tandis qu’elle observe le traitement de la lumière dans la peinture. Le principe de perspective monofocale exprimant la position du peintre ainsi que celui du spectateur, participe à l’interroger sur le cadre de la représentation ainsi que sur son environnement. Son expérience de la scène et son intérêt pour les arts plastiques l’amènent alors à étudier la scénographie.

Elle s’installe à Bruxelles pour suivre les cours de L’ENSAV la Cambre jusqu’en 1998. Puis elle intègre en tant que scénographe la Compagnie de théâtre Jours Tranquilles (CH); une collaboration qu’elle poursuit jusqu’à ce jour. Dés lors, elle développe et diversifie son activité dans le champ de la scène théâtrale en tant qu’artiste et technicienne, elle conçoit et réalise scénographies, accessoires, lumières et costumes pour plusieurs compagnies avec lesquelles la mise en scène est très directement liée au travail de l’espace. En 2011, elle décide de passer elle même à la mise en scène et à l’écriture et fonde avec sa sœur Mélanie Rullier la Compagnie Ravage (BE), structure d’où émaneront des collaborations communes ainsi que des réalisations personnelles.

Ses créations sont marquées par l’obsession de la représentation au sens large. L’écriture, la mise en scène, la scénographie, la performance, la vidéo et la photo - théâtre mort de la mort sont pour Estelle autant de moyens d’expression, de champs d’expérimentation qui lui permettent d’approfondir la questions de la transmission et de la ruine. C’est en ce sens qu’elle interroge la confusion entre le réel et le vivant (dont parle R. Barthes à propos de la photographie) et confronte les différentes temporalités propres à ces différents médiums. L’élaboration de ses travaux procède toujours des liens qu’elle opère entre ses diverses disciplines.

 

http://www.estellerullier.be

estellerullier1@gmail.com
 

Après 10 ans  d’activité en tant que psychologue, j’ai  découvert, à travers le métier de scénographe, l’incroyable plaisir de modeler l’espace, la matière, la couleur et la lumière. Un quart de siècle et bien des projets plus tard,  me voilà spécialisée en scénographie d’exposition et d’événements.

 

Donner aux œuvres et aux espaces toute leur dimension, emmener le public par la main et lui donner à voir. Un bel exercice qui oscille entre séduction et discrétion, entre harangue et chuchotements. Faire voir au plus juste sans que le public, bien qu’il soit interpellé, ne soit distrait ni ébloui.

 

A côté de cela, je retourne régulièrement à mes premières amours : le théâtre, la matière et les patines… J’enfile alors mon tablier d’artisan et me coule un temps dans le rythme de l’atelier.

 

J’aime ce métier.

 

Ceci explique sans doute aussi le plaisir que j’ai à l’enseigner.  Une école m’a permis d’oser, naguère, me lancer dans l’aventure ; à mon tour, j’accompagne de futurs scénographes, partageant avec eux expériences et réflexion.

 

 

beatrice.massinger@gmail.com

 

Photo : Exposition Agence Magnum, Flagey, 2008

Aurélie Deloche démarre son parcours professionnel avec la Compagnie Point Zéro, lors de la création de « L’école des ventriloques" en 2008, ce sera là le point de départ de fructueux échanges artistiques et humains, les tournées de la compagnie l’amènent parfois à reconstruire les décors sur d’autres continents, de beaux prétextes aux voyages...
Elle participera en 2009 aux premiers pas de la Compagnie 36,37, pour leur création « Zazie et Max » qui se jouera plus de 800 fois, ce sera le début d’une rencontre avec le théâtre jeune public. Suivront des collaborations avec l’Anneau théâtre, le Théâtre du public, le Théâtre des 4 mains, le Théâtre Isocèle…
Pour le duo Sophie Linsmaux/ Aurélio Mergola , elle signera deux scénographies pour des créations de théâtre visuel: «Où les hommes mourraient encore » en 2011 et « Keep going » en 2014 (tous deux nominés aux prix de la critique.)
Aurélie rencontre Julie Antoine en 2010, celle-ci fonde alors "Berdache production" et l’embarque dans son aventure théâtrale avec « Red shoes » (créé en 2012), elle en retire le plaisir du laboratoire et de l’exploration de matières.
Xavier Lukomski, Hervé Guerrisi, Ana Rodriguez, Sébastien Chollet, Colm O’Grady, ou encore la Compagnie Odile Pinson feront appel à elle pour l’une ou l’autre création… passées, présentes et futures.
Scénographe avant tout, elle se permet aussi de changer de casquette soit pour explorer son propre univers plastique avec des installations comme « Fils » ou « La banquet des Rogatons », soit pour se consacrer à la création de marionnettes, elle s’autorise aussi des immersions en contact direct avec "le public" lors d' ateliers avec des artistes mentalement déficients ou dans le milieu carcéral.
Depuis juin 2008 où elle sortira diplômée de l’ENSAV la Cambre, les expériences s’accumulent, sa curiosité pour ce métier grandit encore et encore, Aurélie continue son chemin guidée par les heureux hasards de ses rencontres professionnelles...

www.aureliedeloche.com

Née à Saint-Ghislain en 1987, Cécile Balate est diplomée de l'institut des arts visuels de la Cambre en 2009 dans l'atelier de Jean Claude De Bemels.

Elle arpente aujourd'hui l'espace du monde du spectacle dans la capitale belge Bruxelles, portée par la rencontre et l'humain, son moteur primordial. Elle aime mettre les mains dans la matière pour la faire parler, multiplier ses sens. Elle aime les objets et leurs histoires ; les choses vraies !

Elle est scénographe pour le théâtre jeune public au sein de la cie La Tête à l’Envers et depuis peu le théâtre de Galafronie où elle se retrouve sur scène avec leur dernier spectacle « Cheveux Rouges ».

Elle croise la route de nombreux metteurs en scènes aux exigences variées comme Céline Delbecq, Robert Bouvier, Alex Lorette,...

Elle s'inscrit dans des projets socio-culturels tels que la Zinneke Parade et est artiste associée à la Maison des Cultures et de la cohésion sociale de Molenbeek.

Elle fait partie du comité de création du festival de la jeune création : le Cocq’Arts festival.

Elle a monté en 2014 l’atelier L’Ad Hoc, basé à Bruxelles, en collaboration avec Delphine Coers, Anna Terrien et Héloise Mathieu, respectivement scénographes et costumières, dans un esprit d’échange et de création solidaire.

 

credit photo : theatre de galafronie

 

www.cecilographe.be

Sortie de La Cambre Arts Visuels, Olivia débute en 2012 en tant que chef décoratrice et costumière sur En attendant le dégel, film de fin d’études de Sarah Hirtt, Second prix de la Cinéfondation au Festival de Cannes en 2013.
Début 2013 elle conçoit la scénographie et les costumes de Sortie A. De ce travail découle Sortie A. Mémoire d’une œuvre éphémère. Exposition présentée à la Raffinerie Charleroi-Danses.
Dernièrement, Olivia réalise la scénographie de La Dispute de Marivaux, mis en scène par Emmanuel Dekoninck, au théâtre Jardin Passion.
Elle travaille actuellement sur la scénographie et les costumes du Testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon, mis en scène par Éric de Staercke au Centre culturel des Riches-Claires.

olivia.sprumont@live.be
www.oliviasprumont.wordpress.com

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Sarah Lefèvre, Marie-Noëlle Hébrant et Camille Dawlat dans La Dispute.
Mise en scène : Emmanuel Dekoninck
Crédit photo : Dominique Bréda
 

Mon diplôme d’Architecture en poche (1996), j'ai suivi ma passion pour l’univers du spectacle en prenant le chemin de Milan et du Piccolo Teatro, où j'ai pu suivre Ezio Frigerio lors de la création de Cosi fan Tutte, dans la mise en scène de Giorgio Strehler.  De retour à Mons, j'ai présenté en 1999, lors de l’expo collective Machina OZ, des projets pour trois opéras de Gluck.  J'ai alors fait quelques belles rencontre et j'ai eu le plaisir de collaborer avec Giuseppe Lonobile (pour ma première scénographie, Agatha, en 2001), Frédéric Dussenne (notamment pour quatre spectacles créés au Rideau de Bruxelles, Elseneur en 2007, Hamlet(s) en 2008, Occident en 2011 et Comme un secret inavoué en 2013), Sylvie Landuyt, Hassiba Halabi, Quentin Simon, Jessica Gazon, Thibaut Nève, Peggy Thomas, Bruno Emsens et Thierry Debroux.  Ma démarche part de l'espace et du texte, afin de créer un lieu à la fois structuré et suggestif.  Un support cohérent pour les corps des acteurs, un parti qui stimule l'imaginaire du spectateur.

 

www.vincentbresmal.be

Le scénographe français, Simon Siegmann vit et travaille à Bruxelles, où il a étudié les arts plastiques à l’ERG (école de recherches graphiques) à Bruxelles. Après de premières interventions dans le cadre d’expositions collectives (entre 1994 et 1997), il confronte et entrecroise son travail de plasticien avec celui d’artistes de la scène. Parmi ceux-ci : Pierre Droulers (depuis 1998), Thomas Hauert (1999-2003), Michèle Anne de Mey (2001-2012), Thierry Smith (2003-2004-2013), David Zambrano (2002), Claude Schmitz (2010), Fabrice Murgia (2012). Depuis 2001, il crée des pièces personnelles, issues de recherches croisées entre les arts plastiques et les arts vivants, dans lesquelles ses sculptures-scénographies deviennent des espaces d’intervention pour d’autres artistes (chorégraphes, poètes, acteurs, musiciens). Parmi ces projets, épinglons deux interventions programmées dans le cadre du Kunstenfestivaldesarts : Agora (2005), à la fois installation, espace de représentation et mobilier urbain, ainsi qu’Assiscouchédebout (2007), projet entre installation et scénographie qui répondait à une demande du festival de transformer les espaces publics du Kaaitheater en centre névralgique de l’événement. De 2008 à 2010, Simon Siegmann est artiste associé à la Maison du spectacle, La Bellone. Lors de cette résidence, il conçoit et dirige putaindebordeldemerde, un projet hybride, dans lequel les genres se confrontent et se confondent jusqu'à en générer un objet scénique non identifié entre installation, lecture, sorte de nature morte dotée du verbe.  Il prête également son talent et sa curiosité à des projets tel que les défilés de mode de la section stylisme de la Cambre dont il conçoit et dessine la scénographie et les éclairages depuis 2005. En 2007 il participe au film de Michel François « La ricarda, à flux tendu » et collabore avec la ligne de design D&A Lab sur un projet de lampe. Au cours de la saison 2011-2012 il a conçu et dessiné une installation scénographique pour le festival Uzés danse et s'est employé à la nouvelle conception du centre du kunstenfestivaldesarts 2011. Dernièrement ses collaborations avec le théâtre se sont multipliées par des collaborations avec de jeunes metteurs en scène, tel que Aurore Fattier, Sofie Kokaj et Christophe Sermet. Parallèlement il poursuit son travail sur des projets de spectacle danse contemporaine, de défilé de mode et d’expositions pédagogiques. 

 

www.simonsiegmann.be

Katerina Chronopoulou est une personnalité pluridisciplinaire.  Après avoir finit ses étude  de communication visuelle à l’école d’Art Maryse Eloy à Paris, elle passe par des agences telles que Publicis et Saguez et Partners. Le milieu de la pub ne lui correspondant pas elle décide de revenir à Bruxelles et de poursuivre ses études à ENSAV Lacambre et de travailler en même temps. Elle travaille dans des studio de graphisme spécialisés en print : Cream design, Sign particulier, Xls-graphic. Elle décide ensuite de se mettre à son compte privilégiant les clients dans le secteur culturel tels que maisons d’édition (Racine, 180° éditions, Aparté, Bernard Gilson éditeur) et galeries d’art (ses projets en tant que graphiste freelance figurent sur ce site internet : aika-design.com). Entre-temps elle rencontre Didier Malchaire avec qui elle collabore pour des projets de vidéo/motion-design tels que le générique de l’émission « Les Magrittes du cinéma » (leur duo s’appelle www.yellowcat.be). Assoiffée de culture, et d’apprendre, elle suit des cours du soir en scénographie pendant quatre ans à l’académie des beaux-arts d’Anvers. C’est ainsi, qu’elle travaille comme assistante scénographe au théâtre de la Place à Liège (Saskia Louwaard and Katrijn Baeten au théâtre de la place de Liège pour La vie est un rêve dirigé par Galin Stoev), à L’opéra Royal de Wallonie pour le premier opéra Stradella mis en scène par Jaco Van Dormael, elle y assiste Vincent Lemaire. C’est en septembre 2013 qu’elle a l’occasion de créer sa propre scénographie pour Geen gezicht au théâtre pour enfants d’Anvers Het Paleis, pour la metteur en scène Barbara Erickx. Elle participie également aux décors du trailer du film de science-fiction Paranoïa, dirigé par Romuald Voye.

 

tel: +32 484 06 49 15

e-mail: catcontact@gmail.com site www.chronocat.be

C’est durant ses études d’architecture qu’Arié van Egmond découvre la scénographie lors d’un concours. Sur les conseils du président du jury enthousiasmé par l’aspect créatif de son projet, il entame alors sa carrière dans les arts scéniques.

 Parallèlement à des créations pour divers théâtres et compagnies entre Belgique, France et Suisse, il perfectionne ses compétences et devient directeur technique pour l’édification du centre de création contemporaines « Montevideo », dirigé par Hubert Colas et Diphtong Cie. Après 6 années, et l’achèvement du chantier, il se consacre exclusivement à son activité de création.

 Que ce soit aux côtés de metteurs en scène de théâtre, de chorégraphes ou pour ses productions personnelles, il explore sans cesse les rapports subtils entre lumière et espace.

 Il a signé les créations lumières, vidéos et scénographies de différents spectacles, et pieces contemporaines et compte entre autres collaborations, Simon Siegmann, Roland Auzet, Françoise Bloch, Hubert Colas, Fabrice Gorgerat, Claude Schmitz, Nadine Ganase, Fabrice Murgia…

 

 

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